Arrives a Potosi (4 000m) et pour eviter les hotels du centre-ville nous nous rendons a l’office du tourisme, ou nous sommes accueillis par un magnifique Dragon!
Nous repartons vite deposer nos bagages dans un Alojamiento pour avoir le temps de faire le tour des agences de tourismes avant leur fermeture et pouvoir visiter les mines le lendemain.
Note: Un Alojamiento est un “Hostal” mais en beaucoup moins class et confortable. Generalement il n’y a qu’une douche et toilette pour tout le monde (une bonne 20aine de chambres! Il vaut mieux ne pas avoir la tourista!). Les chambres sont minusclues avec un matelat plus ou moins epais et sans fenetres. Par contre maintenant on fait attention a renifer les draps avant de s’installer car notre deboire a Sorata nous a suffi!
Pour encore une fois fuire les resto du centre-ville nous nous sommes rabattus sur une “friterie-poulet” que j’avais reussi a eviter jusque-la… Nous mangeons donc dans des “gamelles pour chiens” un poulet bien frit et avons notre comptant de graisse pour la semaine! Le point “le plus mieux”, c’est qu’on peut manger avec les doigts… De toute facon, avec des poulets decoupes n’importe comment c’est la meilleur solution!
Lors de nos tours des agences de voyages, nous tombons avec surprise sur un message d’Hubert Darras, un copain de promo et cousin eloigne de Victor!
Meme qu’il y avait des variete de betterave qui portaient le nom Darras
Meme qu’il y avait des variete de betterave qui portaient le nom Darras
Finalement on a trouvés une autre agence un peu moins cher, sorry Hubert !
Le lendemain ous voilà donc partis pour les mines. On grimpe dans un combi ( pour changer ) pour commencer par le mercado oú les mineurs achètent de la Coca ( un sac pour tenir 24h ou plus ) et de la dynamite. La guide nous conseille d'en acheter ainsi que quelques biscuits et du soda pour distribuer au mineurs que nous rencontrerons en chemin.
La visite commence par une petite explication sur le travail de cette dame. Très agée elle continue de faire vivre sa famille par son travail. Elle trie le minerai que les mineurs rejettent afin d'y retrouver quelques bouts de métaux qu'elle pourra revendre. Tout le jour durant elle casse des pierres avec son petit marteaux a la manière des Dalton...
Le lendemain ous voilà donc partis pour les mines. On grimpe dans un combi ( pour changer ) pour commencer par le mercado oú les mineurs achètent de la Coca ( un sac pour tenir 24h ou plus ) et de la dynamite. La guide nous conseille d'en acheter ainsi que quelques biscuits et du soda pour distribuer au mineurs que nous rencontrerons en chemin.
La visite commence par une petite explication sur le travail de cette dame. Très agée elle continue de faire vivre sa famille par son travail. Elle trie le minerai que les mineurs rejettent afin d'y retrouver quelques bouts de métaux qu'elle pourra revendre. Tout le jour durant elle casse des pierres avec son petit marteaux a la manière des Dalton...
jVue sur le Cerro Ricco, montagne truffée de galeries qui continues a être exploitée 500 ans aprés la découverte du premier filon !
Pour le fun, les guides sont fier de montrer aux touristes comment on utilise la dynamite, à la limite de l'artisanat c'est assez dangereux...
C'est maintenant le moment de rentrer dans la mine. Les premières galeries sont bien aménagées avec des murs soutenus en pierre, c'est le travail des espagnols. La suite est un réseaux de boyaux étroits sans lumières, parfois trés bas. Les poutres de soutennement cassés n'inspirent pas confiance...
Au plafonds et sur les murs, quelques belles concrétions minérales !
Merci les casques ! Diane n'a pas arrêter de se cogner !
Premier arrêt, distribution de biscuits aux mineurs présents a ce moment là. Dans ces sortes d'amphores ils remontent a la surface le minerai qu'apportent les chariots grâce a un treuil électrique placé a la surface.
Premier arrêt, distribution de biscuits aux mineurs présents a ce moment là. Dans ces sortes d'amphores ils remontent a la surface le minerai qu'apportent les chariots grâce a un treuil électrique placé a la surface.
Durant la visite nous verrons peu de mineurs au travail, mais a chque fois que nous croiserons quelqu'un la guide sélectionne l'un de nous pour que personne n'oublie de donner quelque chose : biscuit, soda ou feuilles de coca... cela donne encore plus un côté "touriste" a la visite, ce que nous regrettons...
Les Boliviens sont trés croyants, comme il vénèrent Dieu a la surafce, il vénère la Pacha Mama, la terre Mère dans la mine. Il y a régulièrement des statues du Diable dans la mine. Les mineurs lui font des offrandes de Coca et d'alcool a 96´degrés (qu'ils boivent également !!! )
Les mines de Potosi sont dites "coopératives", un terme qui porte a confusion !!! Ici la "coopérative" n'est que le nom de l'organisation qui gère les droits d'exploitation. Ensuite il n'y a pas de coopérative a proprement parlé qui gère le travail et la commercialisation des minerais. Cela a pour effet que chauqe mineur vend sa minuscule production au prix du marché mondial, ce qui ne facilite pas la vente a bon prix. Par ailleurs les Boliviens sont fiers de travailler chacun dans son coin plutôt que pour une grande entreprise.
L'aprés midi nous nous sommes décidés a visiter un musée, au départ plus pour s'occuper que pour en apprendre sur l'histoire... bien nous en a pris car c'était bien intéressant ! Notre choix s'est porté sur la Casa Real de la Moneda, lieu oú furent frappées les premieres pices de monnaies Boliviennes.
Les mines de Potosi sont dites "coopératives", un terme qui porte a confusion !!! Ici la "coopérative" n'est que le nom de l'organisation qui gère les droits d'exploitation. Ensuite il n'y a pas de coopérative a proprement parlé qui gère le travail et la commercialisation des minerais. Cela a pour effet que chauqe mineur vend sa minuscule production au prix du marché mondial, ce qui ne facilite pas la vente a bon prix. Par ailleurs les Boliviens sont fiers de travailler chacun dans son coin plutôt que pour une grande entreprise.
L'aprés midi nous nous sommes décidés a visiter un musée, au départ plus pour s'occuper que pour en apprendre sur l'histoire... bien nous en a pris car c'était bien intéressant ! Notre choix s'est porté sur la Casa Real de la Moneda, lieu oú furent frappées les premieres pices de monnaies Boliviennes.
Surprise a l'entrée, en raison de la grippe A qui se propage en ce moment en Amérique du Sud, les masques sont obligatoires ! Je retourne donc au pas de course dans les rues polluées chercher les notres a notre hotel... pour découvrir qu'évidemment pratiquement personne n'en porte pendant la visite, cool.
Dans ce musée les photos sont interdites, sauf si l'on paie 20bols supplémentaires, ce que l'on a pas fais en bon francais radins ! Juste des photos de l'extérieur des batiments. Le visage qui orne le porche est une sculpture réalisée par un francais. Pour certains il représente Bacchus ( il porte une couronne de raisin ) et pour pour d'autre les deux expressions de chaque coté du visage représente la joie ( celle des conquistadors ayant découvers le Cerro Rico ) et l'amertume en voyant la richesse partir du royaume lors de l'indépendance de la Bolivie.
La visite commence par une grande salle oú sont exposées des peintures retracant l'histoire de la ville. Cette salle abrite également la déclaration de l'UNESCO qui classe la ville et le Cerro Ricco au patrimoine universel.
Cette grande bâtisse a abrité la production de milliards de pièces de monnaie en argent. A une époque il y avait tellement d'objet en argent en provenance de Potosi que le Roi d'Espagne lui même croyait que la Casa de la Moneda était construite en Argent !
Les premières pièces de monnaie étaient faites a l'emporte pièce et au marteau, un travail de fourmi qui donnait des pièces de formes irrégulières. Les espagnols ont donc mis au point une machine pour laminer des "bandes" d'argent. Ces machines au mécanisme complexe sont toujours en place actuellement. Elles transmettent la force de 4 chevaux a des petits rouleaux de métal capable d'écraser des barres d'argent fraichement coulées.
Ces machines faites en bois, ont été fabriquée en Espagne, acheminées par bateaux puis a dos de mules jusque Potosí.
Les premières pièces de monnaie étaient faites a l'emporte pièce et au marteau, un travail de fourmi qui donnait des pièces de formes irrégulières. Les espagnols ont donc mis au point une machine pour laminer des "bandes" d'argent. Ces machines au mécanisme complexe sont toujours en place actuellement. Elles transmettent la force de 4 chevaux a des petits rouleaux de métal capable d'écraser des barres d'argent fraichement coulées.
Ces machines faites en bois, ont été fabriquée en Espagne, acheminées par bateaux puis a dos de mules jusque Potosí.
Dans plusieurs salles nous avons pu admirer une importante collection d'objets en argent, du lustre au pot de chambre ! On a aussi vu des momies ( a croire qu'il y en a dans tous les musés Boliviens ! ) et une grande collection ede minéraux.
Aprés cette intéressante visite on est retournés dans notre hotel glacé se faire une soupe, avant de repartir vers Uyuni le lendemain matin...
Aprés cette intéressante visite on est retournés dans notre hotel glacé se faire une soupe, avant de repartir vers Uyuni le lendemain matin...
Je reclame plus de commentaires sur les photos illsutrant des fesses jaunes et avec les personne dont la combinaison fume!!
RépondreSupprimerEt puis, est ce une bolivienne qui garde la tombe d'une momie ou c'est une mauvaise interpreation??
OU EST l'aRTICLE SUR LES CHOLOCA (c'est ca le nom??), les femmes a bon embonpoint???
Justement, on se demandait si t'avais dla barbe ou pas!
RépondreSupprimerLoonie.
Victor on t'a reconnu malgrès ton masque et tes serpentins autour du cou!
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